« Je voudrais, écrivait
Arnold Böcklin, produire des tableaux si paisibles que le spectateur, tout à sa contemplation silencieuse, sursauterait si quelqu’un frappait à sa porte. » Et il ajoutait : « Un tableau doit raconter une histoire, amener le spectateur à penser à une poésie et lui laisser l’impression d’un morceau de musique. »
Entre rêve et réalité, prochainement sur vos écrans...