Les surréalistes, qui ont sauvé tant d’artistes de l’oubli, ont ignoré Léon Spilliaert, peut-être parce que son art incitait davantage à la mélancolie qu’à la rêverie. Pour tenter d’en percer les mystères, rien de tel que la série de paysages silencieux et presque monochromes que le peintre consacra à sa ville natale, en particulier sa digue de mer.
Ostende à l'encre, prochainement sur vos écrans...