La Nativité dans la peinture

Les thèmes de la peinture furent longtemps prétextes à immortaliser les puissants de l’époque, et la Nativité du Christ ne fait pas exception. Mais, par-delà la figure de Marie, les peintres ont célébré la féminité, plus que la maternité.
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Le portrait anglais néoclassique

Joshua Reynolds prônait un retour rigoureux au Grand style. Pourtant, dans ses portraits et autoportraits, perce parfois l'intuition que l’art se doit de frapper l’imagination par la puissance des passions.
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Derniers feux du romantisme anglais

Après sa rencontre avec le poète William Blake, Samuel Palmer connut une sorte d’état de grâce, au point que l’on peut parler de « décennie miraculeuse ».
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Poétique de l'immobilité

Comme Turner cinq ans avant lui, c’est à Venise que Richard Parkes Bonington comprit que la lumière et la couleur pouvaient devenir le sujet véritable d’un tableau.
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Le paysage visionnaire

Inventant la nature bien plus qu’il ne la copia, Jacob van Ruisdael la chargea d'une poésie et d'une intensité dramatique qui inspireront les romantiques anglais et les peintres de Barbizon.
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En forêt de Fontainebleau

Narcisse Díaz eut l’idée originale de vendre ses esquisses réalisées d’après nature et sur le motif à des prix moins élevés que les tableaux finalisés à l’atelier. Ainsi put-il aider financièrement Millet et Rousseau.
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Entre le ciel et l'eau

Quinze ans avant Claude Monet, Charles-François Daubigny se fit aménager une péniche atelier, pour y vivre et travailler. Ainsi fut-il le précurseur direct des impressionnistes.
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2 000 Abonné(e)s !!!

La petite chaîne qui monte qui monte comme un escargot asthmatique vient de passer le cap de bonne espérance des 2 000 abonné(e)s. Merci à toutes et à tous.
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Les peintres de Barbizon

Théodore Rousseau, Charles-François Daubigny ou Jean-François Millet, ce sont près de cent artistes qui firent du village de Barbizon l’un des hauts lieux de la peinture française du XIXᵉ.
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Angélus et glaneuses

« Je le répète, écrivait Van Gogh à son frère Théo, Millet est le père Millet, c’est à dire le guide des jeunes peintres, en toute chose. »
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Peintre des ruines

Ne vous fiez pas aux apparences, les ruines peintes par Hubert Robert sont pour beaucoup imaginaires. Nous donnant à voir son monde intérieur, l’artiste nous promène dans tous les rêves du « siècle des Lumières ».
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Une nouvelle apparence

« Un peintre peint l’apparence des choses et non leur exactitude objective. En fait il crée une nouvelle apparence des choses », écrivait Ernst Ludwig Kirchner, qui disait aussi vouloir faire de sa peinture « une confession ardente ».
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Die Brücke

« Quand vous éprouvez devant certaines œuvres d’art un sentiment d’anarchie, de violence ou de vulgarité, étudiez-les à fond », écrivait Emil Nolde. « Alors vous verrez comment l’illogisme devient liberté et la vulgarité subtilité. »
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Der Blaue Reiter

Der Blaue Reiter connut une existence éphémère, brisée par la guerre. Mais il est pour les artistes d’aujourd’hui le modèle parfait d’une réflexion sur leur propre création.
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Monsieur Couleur

« Une œuvre d’art est une parabole, écrivait August Macke, la pensée d’un homme, l’idée personnelle d’un artiste, une chanson sur la beauté des choses. »
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Sur un grand cheval bleu

« Franz Marc et moi », racontait Wassily Kandinsky, « prenions un café sur une terrasse ombragée. Nous aimions le bleu tous les deux, Marc les chevaux et moi leurs cavaliers. Le nom Der Blaue Reiter s’est imposé de lui-même…»
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Se libérer du réel

Il suffit de voir les différentes versions de l’Église à Murnau pour deviner que ce fut lent et laborieux pour Wassily Kandinsky de se créer un langage véritablement libéré du réel.
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L'invention de l'art abstrait

Si l’on en croit Wassily Kandinsky, c’est parce qu’il était sorti dans la nature avec sa boîte de couleurs que, rentrant chez lui au crépuscule, il aperçut sur le mur l’un de ses tableaux accroché à l’envers, et en conçut l’art abstrait...
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L'abstraction absolue

« J’ai débouché dans le blanc, camarades aviateurs, voguez à ma suite dans l’espace sans fin. » D’une phrase, Kasimir Malevitch nous ouvre les portes de l’art abstrait.
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La tentation géométrique

Piet Mondrian a été accusé de détruire la peinture traditionnelle. Il n’y a pourtant qu’un vrai peintre pour imaginer qu’on peut, en quelques lignes et tons, traduire une vision humaniste et cosmique de l’univers.
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Les premières années d'un abstrait

Procédant par simplifications successives, jusqu’à dépasser l’objet, Piet Mondrian a élaboré un art nouveau, aboutissant à l’une des plus pures visions abstraites.
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Peintre de la modernité

Devant Le Buveur d’absinthe du distingué Édouard Manet, son vieux maître Thomas Couture s’écria : « Mon ami, il n’y a ici qu’un seul buveur d’absinthe, et c’est le peintre qui a produit cette insanité ».
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Peindre ce qu'on croit

Le scandale fut tel que, par dérision, Édouard Manet baptisa Partie carrée son fameux Déjeuner sur l’herbe. Pourtant, l’objet du scandale, c’est la robe. Pour que la femme soit nue, il a bien fallu en effet qu’on la lui ôtât…
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L'art et la vie

Tout l’art d’Edgar Degas semble concentré dans Le Foyer de la Danse à l’Opéra de le rue Le Peletier. Une simple chaise au premier plan, quelques subtils jeux de miroirs et tout est dit : l’art, le travail, la vie.
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Peinture intimiste

On connaît Henri Fantin-Latour pour ses tableaux de fleurs et ses portraits de groupes, on sait moins le rôle fédérateur qu’il a tenu, faisant le lien entre peintres romantiques, réalistes, symbolistes et impressionnistes.
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L'impressionnisme américain

On connaît l’intérêt de Proust pour Monet, mais le peintre qui l’a le plus fasciné est Whistler, au point de s'en être fortement inspiré pour le personnage d’Elstir dans
À la recherche du temps perdu.
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Alexandre offre sa favorite

Dans son Histoire naturelle, Pline l’Ancien raconte qu’Alexandre le Grand tenait le peintre Apelle de Cos en si haute estime qu’un jour il lui céda sa favorite.
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Couvrez ce sein...

Jean-Baptiste Greuze s’imposa dès son premier tableau. Ses contes moraux encombrés de sous-entendus grivois connurent une vogue incroyable, aussi intense que durable. Il fit pleurer dans les chaumières, mais quel peintre fut-il ?
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Alexandre le Grand

Au-delà du personnage historique,
Alexandre le Grand est le héros
le plus romantique qui ait été offert
à l’imaginaire humain.

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Singulière banalité

Y a-t-il un mystère Chardin ? Pourquoi sa peinture, en apparence si banale, nous émeut-elle autant ? Si secret il y a, où se cache-t-il ? Dans son humble fidélité à une réalité familière ? Ou bien est-ce que…
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L'expressionnisme allemand

Engagé volontaire, Otto Dix rentre du front en pacifiste convaincu. Il va alors utiliser son art pour dénoncer les horreurs de la guerre.
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Le génie finlandais

Attention, phénomène !
L’artiste finlandaise Helene Schjerfbeck a connu une remarquable évolution, passant d'un naturalisme sensible à un art plus irrationnel d’exploration de l’inconscient.
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La condition humaine

Plus qu’aucun autre artiste allemand de son temps, Käthe Kollwitz a dénoncé l’absurdité de la guerre, l’être humain ployant sous la tyrannie, la violence faite aux femmes.
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Peintre de l'apocalypse

Plus qu’aucun autre artiste peintre de son temps, l’anglais John Martin a magnifié l’insignifiance de l’homme face à l’immensité de la nature. Nul mieux que lui a peint fléaux, ouragans, incendies ou cataclysmes.
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Les derniers jours de Pompéi

Les Pompéiennes vous le diront, rien de tel qu’une petite éruption volcanique pour ranimer l’ardeur du vigneron… Et les Pompéiens vous le confirmeront, rien de tel qu’un Lacryma Christi impétueux pour provoquer la tendresse…
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Le paysage anglais

John Constable a peint comme personne ce vert humide qui est l'essence même du patrimoine pictural britannique.
Mais c’est le désespoir consécutif à la mort de son épouse qui fait de lui l’un acteurs majeurs du romantisme anglais.
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Le romantisme français

Après avoir découvert La Charrette de foin
de John Constable, Eugène Delacroix
transforme Scène des massacres de Scio.
Mais c’est avec La Mort de Sardanapale
qu’il scandalise ses admirateurs.
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Le romantisme allemand

Perdus dans leurs songes, murés dans le silence, les personnages de Caspar David Friedrich nous tournent le dos, nous contraignant à regarder dans la même direction qu’eux.
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La première croisade

Que pèsent les croisades dans nos rapports avec le monde musulman ? Car jusqu’à la première croisade, la civilisation islamique n’avait montré que tolérance, ne faisant pas d'obstruction aux pèlerinages chrétiens...
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La nuit descend sur Giverny (1920-1926)

Ses toiles ultimes semblent annoncer l’art informel, mais Monet n’a rien d’un abstrait. Devenu presque aveugle, il tente de restituer une nature familière et concrète.
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La plénitude (1880-1920)

Après la mort tragique de Camille, Monet quitte Vétheuil. Il transporte son chevalet à Dieppe, à Pourville, à Etretat. Et c’est là, au spectacle de ce grandiose paysage marin, que son chagrin peu à peu fait place à l’émerveillement.
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Les années lumière (1870-1880)

Monet, ce n’est qu’un œil, disait Cézanne qui le jalousait. Pourtant si les cubistes héritiers du maître d’Aix ont mené la peinture à une impasse, ceux du Havrais sont éternels, qui tentent de saisir ce qui, par nature, est insaisissable.
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1 000 abonnés

La chaîne YouTube
Les dessous du visible
vient de franchir le cap
des 1 000 abonnés.

Cap maintenant
sur les 100 000 qui devraient être atteints
en 2215 ou 2216.

La nuit étoilée

Un matin d’automne 1970, alors qu’il lit sur sa véranda une biographie de Vincent van Gogh, le songwriter américain Don McLean a l’intuition que la folie du peintre néerlandais est toute relative. Se saisissant d’un sac en papier, il écrit ces mots : Starry, Starry Night… à écouter > ici

Ernesto

Merci à ernesto deupoinzero, qui parle avec émotion de peinture et des dessous du visible.
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Les jeunes années (1860-1870)

Claude Monet attribuait à Johan Barthold Jongkind l’éducation de son œil, mais c’est Eugène Boudin qui lui mit le pied à l’étrier. Les accompagnant sur le motif, il n'eut de cesse de capter la lumière changeante des ciels normands.
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Le père spirituel

Peignant sur le motif et observant sans idées préconçues la mer et les élégantes qui s'y reflètent, c'est à Deauville et Trouville qu’Eugène Boudin découvre sa propre lumière.
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Le spectacle mouvant du monde

L’exemplarité de l’impressionnisme tient à la nature même des interrogations que le mouvement eut à affronter, au premier rang desquelles le rapport fondamental entre l’œil du peintre et la lumière du monde.
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L'enlèvement des Sabines

Pendant que les hommes se faisaient tout un roman de leurs capes et épées, les femmes cédaient Rome…
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